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Un coup d'œil dans les coulisses : Faites connaissance avec Peter "Pedro" Glücki - un membre permanent de la famille Kilchenmann depuis le 1er juin 1986. Près de quatre décennies d'expérience, de l'humour avec une pointe de sécheresse et une portion supplémentaire d'esprit d'équipe : C'est l'homme qui construit aujourd'hui nos racks - et qui, autrefois, tirait déjà des câbles aussi épais que les poignets dans les regards de la rue.
De la vente à la technique - un parcours jalonné d'étapes
Peter a commencé chez Kilchenmann par un apprentissage classique de vendeur, puis est passé au service externe et a même dirigé entre-temps une filiale à Ostermundigen - à une époque où Kilchenmann était encore un simple magasin de radio et de télévision. "J'ai remarqué que la direction de filiale n'était pas ma tasse de thé. Je ne suis pas quelqu'un qui aime donner des ordres", dit-il avec le recul. Il est donc retourné à Kehrsatz et a continué dans la technique.
Il s'est d'abord dirigé vers le service d'installation de l'époque de la télévision par câble : "Nous avons tiré les très gros câbles dans la rue - en y mettant tout notre corps". Plus tard, le chemin a mené à la construction d'installations en passant par l'atelier. C'est là que Peter se sent chez lui aujourd'hui encore : en tant que constructeur de racks.
Un artisanat de qualité - aujourd'hui dans la construction d'installations
Pendant de nombreuses années, Peter a été quotidiennement sur place chez des clients*, montant des vidéoprojecteurs, posant des équipements techniques, grimpant et descendant des échelles. "Aujourd'hui, en raison de mon âge, je préfère m'asseoir sur ma petite chaise et assembler un rack", dit-il.
"Projet préféré ? La somme de beaucoup"
Peter ne désigne pas un seul projet favori. "Je me suis rendu dans tellement d'endroits dans toute la Suisse". A Berne, il connaît l'intérieur de presque chaque maison grâce à d'innombrables livraisons à domicile. Et bien que son cœur de supporter batte pour les SCL Tigers, il connaît le stade du SC Berne "presque mieux que le sien" - y compris les maîtres de glace.
Privé : ski, hockey sur glace, moto - et une chevauchée sans rétroviseur
En hiver, Peter préfère skier ou regarder le hockey sur glace, en été, il fait de la moto. "L'été ou l'hiver ? En fait, les deux". Un fait amusant qui est resté : pour un trekking équestre dans les Grisons, il est parti à 3 heures du matin en moto - et sur son cheval, en regardant derrière lui, il a eu le réflexe de chercher le rétroviseur.
Ses racines artisanales s'étendent entre autres à l'horticulture et au toit. Le dicton d'autrefois qui s'y rapporte : "Il faut avoir deux métiers : Couvreur et jardinier - si tu tombes, tu peux continuer à travailler tout de suite".
De Peschä à Pedro - un surnom qui reste
Peter, Peschä, Petri est devenu Pedro à un moment donné - marqué par un collègue couvreur, resté accroché au cercle d'amis et à la famille. "Même ma mère m'appelle Pedro", raconte-t-il en riant. S'il ne veut pas s'attribuer le "feu espagnol", il est en tout cas la constance même.
L'esprit d'équipe à l'état pur
Pour Peter, la motivation n'est pas le fruit du hasard : "Les jours où je n'avais pas envie de travailler se comptent sur les doigts d'une main". Si c'était le cas, c'était parfois à cause d'un projet - "le lendemain, c'était à nouveau différent". Des conflits ? "Jamais de dispute". Au lieu de cela, de la collégialité, de la fiabilité et un sens de l'humour qui donne de la terre à chaque défi.
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